Selfbondage sur le tapis de marche de mon grand-père

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 5 ans

Lorsque mon grand-père, paix ait son âme, est rentré en maison de retraite, il a fallu débarrasser sa maison. Nous avons partagé ses meubles et revendu ce que personne ne voulait dans la famille puis fait un don à Emmaüs. J’ai récupéré le tapis de marche électrique puis quelques bricoles. Ce fut dur de voir mes parents pleurer, ils savaient que c’était sa dernière ligne droite, sa dernière demeure.

Malgré leur tristesse, ce tapis de marche m’avait donné des idées de selfbondage. J’en ai fait plusieurs avec ce tapis médical !

Le plus simple a été de poser un gros poids dessus avec une ficelle attachée à mes pinces à sein. Le tapis à vitesse réduite devait aller à 0,5 kilomètre à l’heure, peut-être même moins. Je m’étais attaché par terre devant le tapis en laissant assez de longueur à la ficelle pour avoir le temps de mettre ma cagoule et mes menottes, elles même attachées à maintien plug acheté sur ABCplaisir. Après avoir lancé le tapis de marche, j’ai donc menotté mes chevilles, posé les pinces à mes seins avant d’enfiler ma cagoule d’isolation BDSM. J’ai ensuite fermé les menottes en bougeant mes fesses sur le plug pour m’exciter et me donner les courage d’aller jusqu’au bout du scénario.

Je n’avais aucune idée du temps qu’il faudrait au poids pour aller jusqu’au bout du tapis et tomber sur le sol en fin de course, par contre ce dont j’étais sûr, c’est de l’arrachage des pinces à sein. Comme les clés de menottes étaient posées sur le carrelage dans l’entrée de la maison, j’aurai pu aller les chercher en rampant et donc arracher moi-même les pinces. Ce courage me manquait !

Irrémédiablement, en avançant sur le tapis, le poids a commencé à tirer sur les pinces. Mon premier réflexe a été d’essayer de ramper pour retarder l’échéance. Je savais que je m’épuisais pour rien et que c’était inutile mais j’avais peur d’avoir mal. Cette peur c’est avérée justifiée, car le tapis en vitesse réduite a arraché les pinces lentement. Je me souviens avoir crié dans ma cagoule.

Comme mes mains étaient bloquées dans mon dos, j’ai du ramper jusqu’aux clés pour pouvoir me libérer et masser mes tétons ultra douloureux.

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Le tapis est équipé de deux barres latérales pour se rattraper en cas de chute et aider les malades ou en rééducation fonctionnelle à se tenir. L’idée de m’imposer des kilomètres de marche à pied dans des tenues spéciales et avec des accessoires peu catholiques me titillait. Après avoir fait quelques tests sans rien de particulier, j’ai fait mes deux premiers kilomètres intégralement nu avec des pinces à sein et le même principe que le selfbondage précédent.

La seule variable a été que j’avais bloqué les clés des menottes dans une chaînette elle même bloquée avec le cadenas électronique. Soit je marchais les deux kilomètre et attendais que le cadenas me donne les clés, soit j’arrachais les pinces si je ne voulais plus marcher. J’ai préféré marcher ! Une fois que le tapis s’est arrêté, j’ai du patienter quinze minutes avant de parvenir à ouvrir le cadenas électronique et récupérer les clés des menottes.

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La semaine suivante, j’avais enfermé les clés de ma cage de chasteté dans le coffre électronique BDSM ABDL ou chasteté vendu sur ABCplaisir. Je m’étais programmé cinq jours et cela faisait trois jours que j’étais chaste. Autant dire que mon état d’excitation devenait démesuré. A la recherche de plaisir détournés, l’idée de jouer avec le tapis de marche m’a titillé. Cette fois, j’allais corser les choses pour encore plus de plaisir.

J’ai donc préparé :

Une chaînette et des pinces à attacher à mes testicules

Une jupe longue pour qu’à chaque pas, elle retombe sur la chaînette ci-dessus indiquée.

Une chaînette à attacher à l’anneau de ma cage de chasteté.

Un plug anal de belle taille

Une chaînette et des pinces à seins

Ma cagoule d’isolation BDSM

Mes menottes plus une chaîne pour m’en faire un string et bloquer les menottes puis maintenir le plug. (des fois je le perds)

Le cadenas électronique qui ne libèrerait les clés de mes menottes qu’au bout d’une heure et dix minutes, soit après que j’ai fait mon heure de marche soit cinq kilomètres.

J’étais ultra excité par toutes mes idées. Quel con, j’aurai pu me massacrer !

Si la pose du plug et du string de chaîne a été facile, tout comme mettre la jupe longue, attacher les pinces à mes testicules sous la jupe m’a ennuyé. Je l’ai bloquée pour attacher la chaînette plus longue à l’anneau de ma cage de chasteté Bon45 avec un mousqueton. La pose des pinces à sein n’a posé aucun problème non plus.

J’ai donc programmé le cadenas électronique avec la chaînette emprisonnant les clés des menottes sur 1 heure et 10 minutes, le tapis de marche sur une heure pour 5 kilomètres. Marcher en mettant la cagoule n’a pas été facile, c’est là que j’aurai du commencer à me méfier. Sauf que, quand on est ultra excité, on fait moins attention. Je l’ai donc bien serrée cette sal... de cagoule. (Je vais revenir sur elle un peu plus loin)

J’ai lâché la pupe qui a commencé à rebondir sur la chaînette des pinces accrochées à mes testicules avant de bloquer mes poignets dans mon dos avec les menottes.

Au début, le délire de mes fantasmes était qu’une Maîtresse sadique frappait mes fesses avec une cravache en s’amusant à tirer sur les pinces accrochées à mes testicules et mes seins. Cela était tout à fait logique puisqu’en marchant, on bouge. La jupe retombant à chaque pas faisait danser mes testicules. Et chaque pas faisait bouger mes fesses et donc le gros plug que j’avais choisi.

Ces délires étaient très agréables au début.

Au début car j’ai commencé à avoir chaud, très chaud sous la cagoule. Si cette cagoule permet de respirer sans problème, elle n’est pas adaptée pour faire ..... du sport ! Là j’ai commencé à avoir peur car j’ai eu l’impression que ma tête tournait. Si je perdais connaissance, j’étais mal et j’allais m’arracher les couilles ! ! !

Contrôler ma respiration et me calmer est devenu une priorité absolu pour mes neurones ayant décidé d’oublier la Maîtresse de mes fantasmes. Les cinq kilomètres programmés m’ont donné l’impression de faire un marathon. Ma tête ruisselait de transpiration sous la cagoule, j’en avais jusque dans les yeux, cela piquait. A chaque pas, et dieu sait qu’il y en a sur cinq kilomètres.

Une personne mesurant 1 m 78 a des enjambées de 60-65 cm (1600 pas/km) 1600 pas pour 1 kilomètre cela fait donc 8000 pas pour 5 kilomètres.

  • La fameuse jupe longue est donc retombée 8000 fois sur la chaînette des pinces attachées à mes testicules.

  • A chaque pas, les pinces à sein, aidées par la chaînette ont bougé 8000 fois.

  • La cage de chasteté bouge quand on marche, surtout quand on a pas de slip. Elle a ballotté 8000 fois mon sexe et mes testicules déjà malmenés.

  • Les fesses bougent à chaque pas ! J’ai donc fait bouger 8000 fois le plug***.

Et tout cela en plus des efforts réalisés avec une cagoule d’isolation BDSM bien serrée sur ma tête. J’avais vu trop grand, trop long, j’ai cru que j’allais mourir.

Quand le tapis c’est enfin arrêté, j’ai joui du cul et de partout. Tout mon corps était pris de convulsions. Appuyé sur une des barres latérales, j’ai essayé de ne pas fléchir les jambes malgré mon envie de m’asseoir. C’était impossible à cause des chaînettes trop courtes, surtout celle de la cage de chasteté. Je devais rester debout coûte que coûte.

Je ne sais pas combien de temps je suis resté appuyé contre la barre pour essayer de me remettre, mais je n’ai pas eu besoin d’attendre longtemps pour libérer la chaînette du cadenas électronique accroché sur le côté du tapis mécanique. Comme je transpirais comme un malade, elle a glissé entre mes mains moites pour retomber contre la barre verticale. Si je ne l’avais pas assurée, j’étais fait comme un rat. J’attache toujours les 2 clés avec 2 ficelles à rôti séparées.

Mes petits doigts moites ont pu récupérer la chaînette grâce à la ficelle et donc faire remonter les clés attachées à la chaînette avec un bout de fil de fer. J’ai un peu galéré pour ouvrir les menottes et quand j’ai retiré les 4 pinces, j’ai « « chanté » » sous la cagoule. Cette nuit là, j’ai dormi sur le dos jambes écartées pour cause de tétons et de testicules enflammés. Chaque fois que je me suis tourné par habitude dans mon sommeil, je l’ai regretté.

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L’idée m’est venue quelques jours plus tard d’essayer la course à pied, par prudence j’ai revenu le tapis sur leboncoin.

Ecrivaillon

QUELQUES LIENS

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